Cheylade, 1899. Un village auvergnat où le vent ne se contente pas de souffler : il semble porter des noms, des regrets, et des secrets enfouis.
Un homme, Benoît, est mort dans des circonstances obscures. Officiellement, c'est un accident. Officieusement, tout le monde a vu quelque chose… mais personne ne parle.
Louise Valadier, liée à lui par l’amour et par le doute, veut comprendre. Elle fouille les carnets, interroge les témoins oubliés, et écoute les silences que les pierres ont gardés.
Autour d’elle : Jeanne, ancienne amante de Benoît ; Aurélie, institutrice courageuse ; Théo, enfant veilleur qui entend les non-dits ; Masson, gendarme et archiviste du village ; et Mathieu, frère de l’ombre, qu’on a longtemps fait taire.
Entre souvenirs effacés, adultère dissimulé, et vérité qu’on préfère laisser dans les greniers, le roman déroule une enquête lente, poétique, tissée dans les paysages du Cantal.
À chaque chapitre, le vent murmure un peu plus fort.

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